• Changez le theatre des mathurins par le THV du Havre et voici une critique de la pièce vue hier soir.

    Super long moment parmi la cour du roi ! Vraiment Edith du Havre et Claudine vous pouvez regretter vos places......

     

    "Au théâtre des Mathurins, le comédien incarne brillamment un roi de France amoureux et tolérant, qui signa l'Édit de Nantes et périt de sa dernière passion.

    2010 a vu la célébration du quatre centième anniversaire de la mort d’un souverain que la postérité a doté de toutes sortes de qualités et vertus, en dépit de la défiance qu’il suscita à son époque. Sujet d’une multitude de mythes, Henri IV est indéniablement le monarque préféré des Français. Afin de lui rendre hommage et de donner une portée actuelle à son action, Daniel Colas, le directeur des Mathurins, a écrit et monté pour son théâtre une pièce qui le présente comme un « grand pacificateur », le « fondateur de la liberté des cultes », un « Roi de la tolérance ». Sans toutefois laisser de côté un autre aspect du mythe, le « Vert Galant », « paillard, jouisseur et grand trousseur de jupons devant l’Éternel ». Jean-François Balmer prête à l’Henri IV de Colas son immense talent de comédien.

    Une pièce où la petite histoire se mêle à la grande

    Henri IV le bien aimé est construit autour des derniers instants du monarque : la pièce commence en effet par sa mort, sous les coups de couteau de Ravaillac, le 14 mai 1610. Puis, par le truchement de retours en arrière, Daniel Colas nous donne à voir d’autres moments clefs de la vie du souverain, de son mariage avec Marie de Médicis à sa passion pour Charlotte de Montmorency (âgée de 15 ans seulement quand elle enflamme le Roi) en passant par ses amours avec la célèbre Gabrielle d’Estrée ; de la signature de l’Édit de Nantes au rêve d’une Europe pacifiée et unifiée… La matière est riche, et la pièce longue en conséquence (2h45), mais à quelques rares passages près, cette durée ne se fait pas sentir. Au contraire, l’histoire, sous la plume de Daniel Colas, s’avère limpide, et point n’est besoin d’être un spécialiste de la période pour se sentir comme chez soi dans ce spectacle. Le mérite en revient aussi à la langue, que l’auteur n’a jamais cherché à faire « d’époque », et qui sait être directe sans être triviale."

     

    Henri IV le bien aimé

     

    Henri IV le bien aimé

     

    Henri IV le bien aimé

     

    Henri IV le bien aimé

     

    Henri IV le bien aimé

     

    Henri IV le bien aimé


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  • padam padam padam, la la la la la la la la la, padam padam padam, la la la la la la la la la.

     

     

     

    tout le monde connait cette chanson mais personne ne sait qui est le compositeur. C'est la le sujet de cette pièce musicale. un hommage complet à la vie de Norbert Glanzbergcompositeur de bien des titres chantés par de grandes vedettes tels que piaf, montand, rossi, petula clark ou mireille mathieu,etc,etc.

    Chanteuse extra et musiciens très très bons. Une vrai bonne soirée. Un spectacle variété de qualité, frais, qui donne le sourire !

    et puis avant, magasins des docks entre copines t pizza sur le pouce avant le debut du spectacle.quel bon samedi !

    soirée THV

    Voila ce que le site de le havre info dit de la pièce :

    "Les auteurs des titres inoubliables, cachés dans l’ombre de leurs célèbres interprètes, tombent souvent dans l’oubli. Qui connaît aujourd’hui Norbert Glanzberg, le compositeur de Padam ou des Grands Boulevards ? Accompagnée par un trio complice, Isabelle Georges rend un hommage plein d’entrain et de charme à cet inconnu célèbre dont la vie fut un roman, et l’œuvre, entre chansons populaires et musiques de films (pour Billy Wilder et Max Ophuls), un monument. « Padam, Padam » : un spectacle musical émouvant et tonique, pétillant et profond.

    Vous le connaissez, vous, Norbert Glanzberg ?
    Et “Padam, padam”, “Les Grands boulevards”, ou “Mon Manège à moi” ? Alors là, oui, tout de suite, cet air qui vous vient aux lèvres… Eh bien c’est du Glanzberg ! Cet inconnu de génie a écrit la musique de dizaines de monuments de la chanson française… pour Piaf, Dalida et Montand – mais aussi Etienne Daho, Arthur H et Catherine Ringer. Son répertoire puise dans la verve des plus grands paroliers, de Pierre Delanoë à Michel Rivgauche, de Jean Constantin à Jacques Plante : un voyage étourdissant dans la bande originale des années 40-50…qui donne l’irrésistible envie de faire revivre ces airs qui tournent encore dans nos têtes ! Et que les moins de vingt ans ne demandent qu’à connaître. Ses chansons sont autant de bulles d’oxygène, de pieds de nez malicieux et poétiques à la bêtise et à l’intolérance, dignes d’un homme à l’esprit acéré et à l’humour ravageur !"


    soirée THV


    soirée THV


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  • Ce samedi, soirée théatre au Havre avec une pièce "Pluie d'enfer" de Keith Huff adapté et mis en scène par Benoît Lavigne.  Vraiment noir et glauque. Une vraie vie de merde!!! Mais très bien joué et très bien mis en scène. noir de chez noir.

    c'était une bonne soirée!

    théatre au Havre

     

    "Pluie, nuit, dans les bas quartiers de Chicago. Deux flics inséparables, l’un dominant, l’autre porté sur la bouteille. Deux mecs virils mais vulnérables. Deux types rompus aux violences de la rue. Qui racontent… Il serait criminel de dévoiler l’intrigue de ce polar profond, qui ausculte avec précision la psychologie des personnages, leur noirceur, les fêlures de leur âme. Avec Olivier Marchal et Bruno Wolkowitch." Le havre info

     

     

    "Au fil de leurs apparitions à la télévision (Quai n°1 pour l’un, PJ pour l’autre, sur France 2) mais aussi au cinéma, Olivier Marchal et Bruno Wolkowitch ont acquis une solide popularité dans le cœur du public. Certains spectateurs ne sont sans doute pas familiers du théâtre, tant mieux si elle en prend le chemin pour venir applaudir ces deux comédiens, qui ont gagné leurs galons grâce à des rôles de flic. Voilà donc Marchal et Wolkowitch réunis sur la scène de la Pépinière Théâtre et leur association… de flics n’est pas un coup marketing, une sorte de label « vu à la télé », comme semblent le suggérer certains beaux esprits du « milieu » (théâtral). Le spectacle se caractérise au contraire par une belle sincérité, une humanité cabossée qui touche au cœur et efface certaines faiblesses. Marchal empoigne avec sa générosité coutumière son rôle de flic tordu, pas très regardant sur la légalité pourvu que les choses avancent. Sa diction n’est pas toujours impeccable, la gestion de l’espace pas toujours assurée mais sa présence sur scène est indéniable, entre résignation, grand cœur et vocabulaire âpre…. On peut dire sans peine qu’il a son personnage dans la peau tant la vérité de ce poulet embarqué dans la nuit noire de Chicago ressemble sûrement à ce qu’il a vécu autrefois. Cet ancien lieutenant de police nourrit de son expérience les scénarios qu’il écrit depuis une quinzaine d’années et que désormais il réalise pour petit et grand écrans (36 Quai des orfèvres, MR 73)." webthea (critique de theatre)

    théatre au Havre

     

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  • D'abord, garde malade pour la zoé qui va mieux : pas de fièvre et les boutons ne la grattent pas ! heureusement car elle refuse toujours d'avaler les médicaments....

    Donc journée sympa avec même un petit tour dans le jardin pour s'aérer, puis gomettes, collages, livres, dessins.

     

    Et ensuite, j'ai laissé la place de nounou à papy du Havre pour la fin de la semaine et je suis rentrée au Havre pour une pièce de théatre avec Arthur Jugnot : à 2 lits du délit.

    comédie assez drole. bons acteurs même si ils ont des trous et des sacrés trous....

    Un mercredi bien rempli

     

    Un mercredi bien rempli

     

    Un mercredi bien rempli

     

    Un mercredi bien rempli

     

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  • Grand Ecart

    traduction Lucie Tiberghien
    mise en scène de Benoît Lavigne
    avec Thierry Lhermitte, Valérie Karsenti, François Feroleto

     

    New York, aujourd’hui. Tobi, ancien chorégraphe, reçoit Lisa, qui prépare un mémoire sur l’histoire de la danse classique aux Etats-Unis. Elle est accompagnée de Mike, son mari, censé régler le magnétophone. L’entretien commence normalement, et pourtant, quelque chose cloche…

    Grand écart est une pièce qui se dévoile au fur et à mesure, à la fois drôle, tendre, violente et émouvante.

    Une histoire simple qui s’impose d’emblée et qui fait basculer une salle du sourire à l’émotion en une heure trente chrono.
    François Vey, Le Parisien.

     

    Théatre

     

    Théatre

     

    Pièce gentillette. Acteurs très bons . Thierry Lhermitte effeminé avec un texte vraiment à ralonge... Bref , bon moment mais sans non plus grand souvenir.

     

    Et puis photo avant de reprendre la route. Il en manque une qui n'a pas de tête et qui a oublié de venir......C'est pas beau de vieillir !

    Théatre


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