• C'est là qu'elle habitait.  Elle l'avait acheté après un gain au casino.

    Drole de bonne femme. Sa vie ici . Sa statue au jardin des personnalités de Honfleur ici.

     

    gv

     

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    Charles-François Daubigny 1817 - 1878

    fait partie des peintres qui sont venus séjourner à la ferme  Saint Siméon pour peindre.

    Charles-François Daubigny est principalement connu pour ses représentations des bords de la Seine
    et de l’Oise, de paysages forestiers et de lacs.

    Zola disait que Daubigny : « …ne s’est guère éloigné de la capitale, sauf pour de rares fugues en Normandie. ». Depuis les années 1850, il séjourne régulièrement en Normandie et notamment à Villerville, où il peint beaucoup.  Néanmoins deux toiles au moins ont été peintes à Honfleur : Le Port de Honfleur et  La Baie de Honfleur. pris sur document sur site impressionnismes.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Erik Satie est né à Honfleur. Cet hurluberlu a été un compositeur étonnant.

    Erik Satie, né Alfred Erik Leslie Satie à Honfleur, le 17 mai 1866 et mort à Paris, le 1er juillet 1925, est un compositeur et pianiste français.

                                            Musique la plus connue (Gymnopédies)

     

    et mon air chanté préféré !

     

     

     

    satie

     

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    N'hésitez pas à visiter les Maisons Satie, musée de Honfleur dans la maison natale de Erik Satie, rue Haute.

     

     

     

    satie

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    La cour de mon ancien Lycée est devenueun parking. En fait, on l'appelait lycée mais j'y suis allée uniquement en 3ème. J'adorais ces vieux locaux avec des escaliers partout et toutes ces cours. C'était en 1975-1976. Il y avait encore des internes: dans ma classe, des petits parisiens virés de leurs collèges alors en pension pour la semaine!! et on les admirait.....

     

    lycee

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    lycee

     

    albert sorel

     

    albert sorel

     

    3eme 1975-1976

     

     


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      La Normandie tient une grande place dans l’œuvre de Lucie Delarue-Mardrus qui  parlait très bien le patois normand  et l’emploie volontiers pour décrire le monde des marins et des paysans normands dans ses romans (l’Ex-voto, Graine au vent, L’Apparition, elle en parle également dans L’amour à la mer, Lemerre, 1931). Dans Occident (dès 1901), elle décrit fréquemment des pérégrinations au gré des saisons (« J’aime cheminer par mes prés normands », p. 28). Elle parle de sa passion de la mer (également dans Par vents et marées en 1910 et dans La figure de proue en 1908 au retour de ses voyages d’Afrique) : « Je te salue, ô mer » (p. 47) ou encore « Je suis la hanteuse des mers fatales » (p. 57). Dans Ferveur (p. 95), en 1902 elle avait publié son poème le plus connu : « L’odeur de mon pays était dans une pomme ».

          La Normandie, c’est pour elle  « chez nous » qui désigne à la fois la maison, le foyer (Horizon, p. 12), le village, et la région, surtout lorsque ses proches s’éteignent (Par vents et marées, voir toute la section « Chez nous », pp. 149-229). Nous avons déjà cité « Soir d’Honfleur » (Par vents et marées, Fasquelle, 1910, p. 43) dans la lettre de septembre 2009.

       Voici un florilège de poèmes consacrés exclusivement à Honfleur puisés dans différents recueils qui montrent bien la permanence de cet amour.

    extrait du site des amis de lucie delarue mardrus

     

    lucie delarue mardrus

    (photo de Philippe Alès sur wikipedia)

    Un chant de retour

    Honfleur, ma ville de naissance

    Que j'aime plus que de raison,

    Je te reviens de l'horizon

    Ayant mené loin mon enfance.

     

    Je t'avais dans l'âme et la chair,

    Et si j'ai quitté ta jetée,

    Ce n'est qu'à tout jamais hantée

    Par ta grisaille sur la mer.

     

    Ailleurs, il fait parfois bon vivre,

    Mais toujours, ville des prés verts,

    On est un peu ton marin ivre

    Qui tangue à travers l'univers.

     

    Qui sait quels calmes, quelles rages

    On a vu loin de toi, Honfleur?

    Quels continents couleur de fleur,

    Et qui sait même quels naufrages?

     

    Nul ne saura jamais jusqu'où

    On a pu conduire sa barque.

    Mais vois-tu quand on nait monarque,

    Monarque on reste jusqu'au bout.



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