• Et encore une soirée à l'opéra pour l'enregistrement de l'orchestre.

    Cette fois ci, l'orchestre seul avec une oeuvre de Wagner. Une oeuvre qu'il faut que je trouve mais je n'ai pas le titre.

    Oswald Sallaberger c'est vraiment dépassé dans cette direction d'oeuvre. C'était simplement splendide à entendre ET à regarder!!!

    CLiquez aussi sur son nom pour en savoir plus.

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    Je pensais que Wagner n'avais fait que des choses dures, guérrières, bruyantes! et bien il a aussi fait cet oeuvre romantique et très agréable. Je vous la ferai écouter quand j'aurai trouvé son nom!!!

    Puis ensuite, des oeuvres de Fauré pour soliste et orchestre. Une MAGNIFIQUE soliste, une mezzo soprane, Karine DESHAYES, Sympathique et avec une très belle voix de mezzo avec des graves puissants (comme je les aime et voudrai les avoir...(les graves puissants!))  Allez faire un tour sur son site pour en apprendre plus (cliquez sur son nom). Elle a été reconnue "Artiste Lyrique de l'année" aux dernières victoires de la musique.

     

     

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    Et ensuite retour avec une oeuvre pour orchestre seul. Je ne sais pas de qui . Peut être encore Fauré . Très beau mais très déprimant.

    Edith de Honfleur est venue avec moi et ne regrette pas ces 3 heures de plaisir intense et gratuit!!!

    merci merci l'opéra de Rouen!!!! A septembre maintenant.

     Et j'ai trouvé une vidéo sur l'enregistrement de ce CD. Regardez ! Ce sera le 1er CD de l'orchestre de Rouen et il sortira  au printemps 2012.

     

     



    Découvrez L'Orchestre de l'Opéra de Rouen enregistre un CD sur Culturebox !

     

    Et le paris normandie de ce jeudi.

    Micros-climat à l'Opéra de Rouen

     

    Publié le jeudi 21 juillet 2011 à 07H42

     

    INEDIT. L'enregistrement d'un disque en direct de l'Opéra se poursuit ce soir. Le public participe… silencieusement.

     

    Pas moins de 15 micros pour capter l'enregistrement (photo J-M. Thuillier)

    Pas moins de 15 micros pour capter l'enregistrement (photo J-M. Thuillier)

     

    Mardi au Théâtre des arts. Ce soir-là, l'orchestre de l'Opéra de Rouen dirigé par Oswald Sallaberger enregistre son premier CD. En public. « Une volonté du chef d'orchestre pour dégager une certaine tension », confie Benoît Pétel, secrétaire général de l'établissement, en accueillant une centaine de mélomanes qui s'assoient confortablement. Derniers raclements de gorge et calage définitif dans les fauteuils rouges. Place à la musique vivante.

    Le silence de Gabriel
    Ils sont 40 musiciens animés par la baguette du chef autrichien qui ne communique pas seulement avec ses bras. Il chorégraphie, son corps ondule, se tend, se plie au gré des humeurs du compositeur Gabriel Fauré. Au final, la main volette vers les dernières notes qui s'évanouissent dans la salle. Comme un adieu.
    Attention aux retardataires. Une hôtesse les guide jusqu'aux loges, atténuant ainsi le dérangement. Tout juste un léger grincement lorsque baille la porte battante. Et toujours cette irrépressible envie de tousser au bout de quelques mesures. Mais, attention, silence. Ici, ça enregistre. En témoignent les 15 micros dressés au cœur de l'orchestre. Une forêt d'espions captant la moindre boulette. Le plus petit faux-pas. Fin du morceau, applaudissements après un silence qui n'appartient qu'à Gabriel Fauré.
    Voix-off. « Les doubles croches pas assez précises. Le crescendo retombe ! » Dans le couloir, la console d'enregistrement est installée. Micro en main, partition sous les yeux, l'homme analyse froidement, mais sûrement, la prestation. « On refait tout de suite ! » Sans technique, un don n'est qu'une sale manie, chantait le cruel Georges Brassens. Ce soir l'enregistrement se poursuit. Avec Karine Deshayes, mezzo-soprano élue artiste lyrique de l'année lors des Victoires de la musique classique 2011.


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  • Petite virée à Rouen hier soir pour assister à l'enregistrement audio d'un air de Fauré : élégie.

     

    C'est une expérience sympa. 25 prises il aura fallu pour que tout soit dans la boite.

    On a écouté ce morceau pendant 1h30. Entre chaque prise entière ou d'un extrait, on écoutait les conseils du producteur (?) ou ingenieur du son (?) ou commanditaire (?) et le solliste ou les musiciens de l'orchestre appliquaient les conseils et on entendait la différence. c'était fabuleux. Peut être à refaire jeudi soir.

     

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    Ce que vous allez écouter en bas est bien la musique dont je parle (enregistré avant 1976) mais ce que j'ai écouté à Rouen vehicule 10 fois plus d'émotion. C'est une question d'époque surement.

     

    Cette œuvre présente une ouverture triste et sombre, et culmine dans une section intense et très lente, qui symbolise le désespoir amoureux. De forme ternaire ABA, elle est à l'origine conçue comme une partie d'une sonate pour violoncelle inachevée. Fauré dédia son Élégie à Jules Loeb, qui mourut en 1883. D'abord écrite pour violoncelle et piano, elle fut arrangée pour l'orchestre par Fauré en 1890, à la demande du chef d'orchestre Édouard Colonne.

    L'œuvre réclame deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux bassons, quatre cors et des cordes pour accompagner la ou le violoncelliste.

    Elégie de Fauré par Gregor Piatigorsky (17 avril 1903 - 6 août 1976)

    Gregor Piatigorsky - Faure - Elegie par Quarouble

     

     

    Une 2eme version plus recente (2005)

    Élégie opus 24 (Gabriel Fauré) / Yo-Yo Ma

    (avancez jusqu'a environ 2 minutes pourpasser le baratin)

     

     

     


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  • SUPER!!!!! des voix extraordinaires. Un opéra sans airs mais tout était beau. Une musique très jolie et des voix........ une tragédie comme histoire, comme d'hab quoi ! Cela devait être extremement fatiguant et pour les solistes et pour l'orchestre. Il y a donc eu un entracte entre chaque acte!

    vraiment , belle fin de saison.

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    Attention, une saison d'opéra peut en cacher une autre..... Vivement....

     

    gv

     


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  • Avant dernier concert de la saison pour moi. Je découvre la musique de Leos Janacek ( 1854 - 1928) et je trouve ça très joli.

    violoncelle , piano quel beau couple ! surtout dans le conte "pohadka".

    et violons, alto, violoncelle : magnifique quatuor.

    surtout  le quatuor n°1 "sonate à kreutzer".

    vraiment essayez d'écouter c'est très beau.

    Et demain je vais écouter son opéra "jenufa" . Que du bonheur !

     

    gv

     

    Leoš Janáček (se prononce Lèoch Yanaatchèque), né le 3 juillet 1854 à Hukvaldy et mort le 12 août 1928 à Ostrava, est un compositeur tchèque.

    C'est l'un des cinq plus grands compositeurs tchèques avec Jan Václav Hugo Voříšek, Antonín Dvořák, Bohuslav Martinů et Bedřich Smetana.

     

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  • Très beau concert de musique de chambre hier soir. Un Violon, deux altos et un violoncelle.

    et le clou : Oswald Sallaberger au violon. Il est aussi tonique assis sur sa chaise avec son violon que dirigeant l'orchestre de Rouen les saisons précédentes. un virtuose.

    Vive Oswald !

    Au programme Mozart, Queval, Albrechtberger et Beethoven.

    J'ai raté la photo de Christophe Queval venant saluer sur scene. J'ai aimé sa pièce : Ciel ! mes boyaux...opus 38. J'apprécie de plus en plus ce genre de musique et l'émotion passe. J'apprends quoi! J'avais moins aimé ses fêtes galantes ici mais j'avais reussi à le prendre en photo et il m'avait donné son mail pour lui transmettre!

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