• Honfleur

    ça faisait tellement longtemps..... on a passé 4 jours en famille tous les 9 . C'était formidable. et tout ça à Honfleur. ville que tous apprécient du plus grand au plus petit, jusqu'à l'écrire sur les carreaux.... Très beau week end qui fait du bien.

     

    dessin de mathieu

     

    Honfleur

     

     

    Poésie de Nathalie Douault (en entier en bas de cette page)

     

    Honfleur

     

     

    Haiku de Zoé.

    (Un haïku (俳句 est un poème extrêmement bref, célébrant l'évanescence des choses et les sensations qu'elle suscite.)

    Honfleur

     

    Nathalie DOUAULT

    MON HOMMAGE A HONFLEUR…

    Honfleur, la ville aux mille couleurs.
    La ville des amours et de l’humour.
    A l’approche du Vieux Bassin, on pénètre dans l’image,
    Une carte postale de lumière changeante, douce après l’orage
    Le passé ressuscite le talentueux Alphonse Allais,
    Faisant sourire les hautes maisons poutrées et colorées.
    A l’intérieur de la ville, les ruelles pavées
    Nous invitent doucement à les marteler.
    Musées et galeries rendent un bel hommage aux Grands Hommes
    Et les poèmes et musiques des artistes disparus nous survole
    Au rythme des cloches de Ste-Catherine, qui résonnent.

    Oh, Honfleur, ma féerie, toute fleurie.
    Les battements de mon cœur te donnent vie.
    Le souffle coupé par ton intense beauté,
    Je marche lentement pour mieux t’apprécier.
    Les empreintes de tes célèbres façades,
    Soudain se façonnent dans mon regard.
    Des hauteurs, j’aperçois les mats des petits voiliers du por
    Tous vêtus de blanc, j’imagine qu’ils ont un joli sort…
    Le jour, bercés par les vagues, ils parcourent la mer bleue
    Et la nuit, amarrés au ponton, ils se resserrent comme des a
    Ils ont sans doute des tas de merveilleux récits
    A se chuchoter en secret, au creux de leurs écoutilles.

    Honfleur, avec tes maisons de poupées,
    Ton air iodé m’aide à me ressourcer.
    Les vagues qui viennent mourir le long de tes côtes,
    Donnent le rythme des marées, basses ou des marées hautes.
    Sable ou galets, peu importe, il est bon de s’y promener.
    Les goélands accompagnent nos pas nonchalants,
    Surveillant quelques miettes de pain à nous quémander.
    Ils font partie du paysage et étonnent les passants,
    En les abordant avec leurs cris stridents.
    Chers oiseaux marins blancs et gris ou argentés.
    A bientôt, mes amis mendiants…
    Normandie de mes rêves et de mes envies,
    Mon cœur et mon âme, sans toi, n’ont plus vie.
    Tu es mon poumon d’oxygène et jamais je ne t’oublierai …

    20/08/2007
    Nathalie Douault

     

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