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    Cinéma

    Je voulais voir ce film "marie et les naufragés" et ils ne le jouent dans aucun grand cinéma. Le plus proche, le cinema lux de Caen. Valoche, il est joué à l'omnia à Rouen.

    Alors dimanche après midi, je suis allée, accompagnée de Edith de Honfleur et on n'a pas regretté le voyage !

    l'histoire : 

    SYNOPSIS

    Un jour, Siméon, père trentenaire d'un enfant et journaliste au chômage, trouve un porte-feuille dans la rue. Il donne rendez-vous à la propriétaire Marie, une jeune femme un peu lunaire. A partir de ce moment, Antoine n'a qu'une obsession, la revoir. C'est alors qu'il reçoit un coup de fil d'un certain Antoine, un écrivain en panne d'inspiration qui le met en garde : "Marie est dangereuse". Siméon s'en moque et décide de suivre Marie, direction la Bretagne et l'île de Groix. De son côté, son co-locataire et meilleur ami Oscar, musicien et somnambule, reçoit la visite d'Antoine. Ensemble, ils prennent également la direction de l'Ouest...

     

    J'y allais pour voir des images de Groix et rien que pour cela c'est réussi ! Voir mon arbre sur un écran de cinéma c'est quelque chose !!!

    Ce que je  ne pensais pas c'est d'avoir le sourire du début à la fin !

    Ce film est fou, mais d'une folie qui fait du bien. Une joie indescriptible, une fraîcheur, vraiment on se sent bien.

    Courez-y et soyez fous !

    Supers acteurs : 

    Genre : Comédie
    Origine : Français
    Réalisateur : Sébastien Betbeder
    Musique : et Sébastien Tellier 
    Acteurs / rôles: 
    Pierre Rochefort : Siméon.
    Vimala Pons : Marie.
    Eric Cantona : Antoine.
    Damien Chapelle : Oscar.
    André Wilms : Cosmo.
    Emmanuelle Riva : Suzanne.

    La critique de Télérama :

    LA CRITIQUE LORS DE LA SORTIE EN SALLE DU 13/04/2016

    On aime beaucoup

    2 Automnes, 3 hivers, précédent film de Sébastien Betbeder, fourmillait d'idées. La même fantaisie emporte cette comédie sentimentale, proche du conte, emmenée par quatre hurluberlus. ­Siméon, d'abord (Pierre Rochefort), journaliste culturel au chômage, ­sensible et rêveur, divorcé, père d'une petite fille. Il le raconte lui-même en s'adressant à la caméra — un principe astucieux, déclencheur d'une jolie ­série d'instantanés en flash-back, qui donne le ton vif et décalé du film. Siméon tombe amoureux d'une drôle de fille (Vimala Pons), aussi pimpante que fuyante, jamais remise totalement d'un trip d'acide. Une fille « dangereuse » d'après son ex, un romancier au fond du trou (Eric Cantona), qui se prend d'amitié pour Oscar, le colocataire de Siméon, un musicien somnambule (Damien Chapelle)...

    Chacun, dans l'autoanalyse, est en manque de romanesque. Le réalisateur orchestre le chassé-croisé des quatre protagonistes qui se cherchent (des noises parfois), se suivent et se poursuivent, entre jeu de l'oie et roman de gare. Il y a une pointe de pastiche, du mouvement, toujours — au risque, parfois, du survol. Mais le film gagne en folie douce dans son dernier tiers, grâce à une simili-odyssée dionysiaque en Bretagne. Sur l'île de Groix, où l'on trouve « la seule plage convexe d'Europe », il s'en passe des vertes et des pas mûres autour d'un gourou de l'électro timbré, mais chaleureux (André Wilms, impeccable). Le compositeur Sébastien Tellier (auteur de la BO) étant aussi dans le coup, c'est gai et triste, dansant et fin. — Jacques Morice

     

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